Vue que l’on s’y prend très tard, on ne va pas s’attarder sur le sujet et vous partager juste quelques photos/vidéos et liens presse.
Pour résumer, entre 20 et 30 000 personnes se sont une nouvelle fois réunies pour le « frenchtek » de mai. Les éternels débats et question ont une nouvelle fois ressurgis : pro/anti teknival, dangerosité du site, opposition des élus locaux, encadrement policier très/trop fort… La seule différence notable étant bel et bien la période de « conciliation » dans laquelle l’événement s’est inscrit. On peut tout de même déplorer un terrain une fois de plus rendu dans un état relativement douteux.
En bref, un rassemblement qui aura ravi les participants et les artistes, s’inscrivant dans la ligné de ses prédécesseurs.
Presse
Des dizaines de milliers de personnes viennent, s’installent pour la journée ou pour quelques jours. Préparation du campement, regroupement avec la famille et les amis, petit apéro et barbecue sont au programme. On se maquille, on se déguise , et enfin on se lâche pour oublier le quotidien. Un seul objectif… faire la Teuf.
C’est impressionnant, chaque année de plus en plus de groupes étrangers venus d’Angleterre, de Belgique, d’Espagne, des Pays-Bas et d’Italie font le déplacement pour participer à cette manifestation qu’ils ont nommés eux-mêmes le FRENCHTEK. Preuve que ce concept d’organisation séduit très largement des peuples qui n’ont pas cette opportunité de créer de tels événements dans leur pays.
Arnaud Robinet, le maire UMP de Reims, était défavorable à l’organisation du Teknival 2014 en Champagne. Mais le festival, qui se déroule du 2 au 5 mai, se déroule plutôt bien selon lui.
« Nous avons fait un tour, les choses se passent convenablement », a indiqué l’élu, pourtant opposé à cet événement. Ce dernier a compté « 16.000 teknivaliers » pour le premier jour.
« Il y a eu 80 admissions au point médical, quelques interpellations pour trafic de drogue », tient à préciser Arnaud Robinet. Selon lui, les Rémois « entendent le boum-boum » de la musique.
Les maires des communes qui accueilleront le prochain Teknival le 1er mai prochain sur une ancienne base militaire aux risques pyrotechniques avérés, craignent de passer du boumboum au gros boum. « On n’est pas mis dans la boucle des réunions techniques, regrette Alain Wanschoor, le maire de Bétheny, l’une des trois communes sur laquelle est implantée l’ex-BA 112. On se sent un peu exclus de l’organisation. » Même son de cloche du côté de Courcy, autre bourg concerné, et de son édile, Martine Jolly, qui craint pour ses administrés « un petit enfer pendant quatre jours » à cause des nuisances sonores. « Nous désapprouvons le choix du site et la méthode avec laquelle cela a été fait », résume Catherine Vautrin, présidente de Reims Métropole.
Vidéo
Sujet France 3.
En direct du teknival par France 3.
Deux jours de teknival en 20 minutes.
Ballade sur le site du teknival.