Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, entre 400 et 500 participants se sont réunis à Gasny, sur le site d’une usine désaffectée pour danser au son des caissons.
Ce sont environ 45 infractions qui ont été relevées par la quarantaine de gendarmes mobilisés pour l’occasion selon la presse. Il est possible de noter que ce nombre d’effectif est rarement affecté pour une fête de cette ampleur, e qui laisse songer à la volonté de faire un exemple.
Au bilan de cette soirée, 3 personnes prises en charge par les secours ; 2 pour ce qui apparait encore aujourd’hui comme une prise trop importante de stupéfiants et d’alcool et une troisième suite à une chute. Ces trois personnes seraient hors de danger.
Une vive réaction de la mairie ne s’est pas fait attendre tout juste quelques semaine après un énorme événement pour Halloween ayant réuni 2000 personnes ; le désire de faire condamner le site a été une nouvelle fois évoqué pour mettre fin aux free party. Le propriétaire quant à lui évoque un projet de rachat de l’usine désaffecté.
En bref, la seule option non envisagée et qui pourtant prendrait tout son sens dans la démarche de l’encadrement qui manquerait à ces événements selon les autorités locales : la mise à disposition de terrain ou de salles ouverts aux événements musicaux leurs permettant de sortir de la clandestinité.
Ce mardi, la question de la responsabilité des organisateurs était encore discutée.
Dans la presse
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