La répression des free party dénoncée par les associations de réduction des risques.

[gris]Une réaction des[brun clair] associations chargées de la réduction des risques liés aux produits stupéfiants (1)[/brun clair] repris par l’AFP et Le Figaro. Voici un autre domaine d’action auquel la répression systématique des teufs et autres événements teknoïdes nuit véritablement, tant dans l’action que dans la motivation des acteurs !

[gris]Avec la politique actuelle d[brun clair]’intervention policière à tout-va[/brun clair], sous prétexte de débordements, d’usages de drogue, le serpent se mort la queue ![/gris]

[gris]Quelques doutes subsistent né-en-moins quant à la prise en compte de ces témoignages par les autorités. [/gris][/gris]

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Les [orange fonce]associations[/orange fonce] chargées de la réduction des risques (RdR) liés à la drogue, qui interviennent lors des rave-parties et des [brun clair]technivals[/brun clair], ont dénoncé aujourd’hui « la hausse de la répression » autour de ces rassemblements, qui rend difficile leur action de prévention.

« Nous qui sommes bien placées pour comparer les prises de risques, affirmons que les [brun clair]free parties[/brun clair] ne posent pas plus de problèmes sanitaires que les autres événements festifs », insistent ces [orange fonce]associations[/orange fonce], dont notamment [orange fonce]Aides, Médecins du Monde ou Techno Plus[/orange fonce].

Elles demandent que le gouvernement « [gris]mette un terme à la gestion désastreuse de ces événements festifs[/gris] », car la répression « majore les risques auxquels sont soumis les participants : les soirées se font toujours plus loin dans des zones reculées, compliquant l’accès des secours que les organisateurs hésitent parfois à appeler tant les risques judiciaires sont importants pour eux ». De plus, « [gris]les interventions policières sont parfois violentes : une soirée arrêtée induit généralement plus de blessés que n’en produisent 10 soirées accompagnées[/gris] », déplorent-elles.

Ces [orange fonce]associations[/orange fonce], qui interviennent pour faire en sorte que les participants à ces [brun clair]raves[/brun clair] limitent les risques qu’ils prennent en cas de consommation de drogue (overdose, échanges de seringues, etc.), soulignent qu’elles [gris]sont parfois empêchées d’accéder à certains rassemblements légaux ou illégaux par les forces de l’ordre[/gris].

De même, « [gris]le manque de reconnaissance et le travail de médiation effectué auprès des forces de l’ordre sur site pousse fréquemment le représentant de l’État en charge de la gestion de l’événement à identifier les acteurs de la réduction des risques comme organisateurs de l’événement[/gris] », déplorent-elles.

Enfin, les contrôles d’identité à répétition et les fouilles des véhicules aux abords de ces soirées, « rendent notre action plus difficile » et « [gris]contribuent à la genèse d’un climat de suspicion essoufflant la motivation de centaines de bénévoles impliqués dans la prise en charge sanitaire du public[/gris] ».

L’association techno+ conclura « Lorsque le remède est pire que le mal il faut savoir changer de traitement. »

Par Le Figaro.fr et Techno+

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