[gris]La procédure ouverte à l’encontre de deux personnes, considérées par la justice comme les organisateurs de l’événement, se poursuit : [rouge]une peine d’amende et une suspension de permis de conduire[/rouge] sont réclamées par le procureur de la république, alors même, que les deux intéresses conteste le statut d’organisateur qu’on leur impute.
Il semblerait qu’une fois de plus, la recherche de responsable soit plus importante que la dangerosité « supposée » du rassemblement… Conclusions le 13 décembre.[/gris]
Deux mois après une rave “sauvage” organisée au débotté dans un champ de Guenrouët, deux hommes de 30 et 33 ans, originaires de la région de Saint-Nazaire, étaient convoqués à la barre du tribunal de police de Saint-Nazaire, vendredi 22 novembre.
La justice estime avoir affaire aux organisateurs, ce que contestent les prévenus, interpellés après un contrôle routier le lendemain de la fête. “On s’est contenté de suivre les informations sur Facebook et de ramener notre soundsystem. On n’a pas choisi le terrain”, argumentent-ils.
Le parquet a requis pour chacun une peine d’amende et 1 à 2 mois de suspension de permis. Le jugement sera rendu le 13 décembre.
La fête techno [rouge]devait à l’origine se tenir dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 septembre à Moisdon-la-Rivière, à l’initiative du collectif “Multison 44″. Manifestation finalement interdite par la préfecture. 1 000 à 3 000 personnes[/rouge] selon les autorités, se sont rabattues sur un champ de 6 hectares à Guenrouët.
Le propriétaire réclame par ailleurs 3 500€ de dommages et intérêts pour le préjudice et la remise en état de son terrain.
Par lechodelapresquille.fr